Programmes passés

Saison 2022-2023

Cinéma symphonique
  • La Marche Hongroise de Hector Berlioz
  • L’Apprenti Sorcier de Paul Dukas
  • La suite symphonique issue de Jurassic Park de John Williams
  • La suite symphonique issue de Star Wars VII The Force Awakens de John Williams
  • Flying to Neverland de Victor Josse
Rêves d’Orient
Avec son deuxième programme de la saison 2022-2023, l’OSUR a proposé un voyage en Orient, ou du moins un voyage à travers une vision de l’Orient imaginée par de grands compositeurs occidentaux tels que Nikolaï Rimski-Korsakov avec Shéhérazade, Camille Saint-Saens et la Danse bacchanale, Alan Menken et sa suite symphonique tirée d’Aladdin ou encore Mel Bonis avec Le Songe de Cléopâtre. Tour à tour légendaires, oniriques ou encore théâtrales, les œuvres choisies par l’orchestre ont composé une vaste fresque tout à tour aventureuse, mystérieuse et festive.
 
L’OSUR a clôturé sa saison avec une reprise du ciné-concert La Petite Marchande d’Allumettes. En première partie, l’orchestre a repris certaines pièces du programme Rêves d’Orient ainsi qu’un medley de musiques de films, séries et jeux vidéo, à découvrir sur Youtube.

Saison 2021-2022

Danses symphoniques

Pour la première partie de sa saison, l’orchestre a choisi un programme articulé autour de la thématique de la danse, avec des œuvres aussi bien françaises qu’américaines ou encore russes. Différents types de danses s’y sont entremêlées, de la première Danse symphonique chez Rachmaninov, aux atours cubains chez Gershwin (Ouverture Cubaine) ou espagnols chez Bizet (Suite symphonique de Carmen), voire carrément théâtraux et opératiques chez Borodine (Danses polovtsiennes issues de l’Opéra Le Prince Igor).

 

Musique galactique

Le deuxième programme s’est articulé autour de l’espace, du cosmos, des étoiles. Ce voyage stellaire nous a entraînés depuis nos planètes voisines jusqu’à une galaxie lointaine, très lointaine, puisque les deux oeuvres phares de ce programme ont été d’un côté Les Planètes de Gustav Holst (cycle de poèmes symphoniques grandioses et majestueux qui a inspiré de nombreux compositeurs, notamment pour le cinéma) et la Suite The Force Awakens de John Williams (tirée de la bande originale de son septième opus de la saga Star Wars). Ces deux œuvres phares ont été accompagnées de deux ouvertures : celle de l’opéra bouffe Il mondo della Luna de Joseph Haydn ainsi que celle de l’opéra-féerie Le Voyage dans la Lune de Jacques Offenbach.

Saison 2020-2021

Saison annulée pour cause de pandémie.

Saison 2019-2020

Le renouveau

L’OSUR a vu arriver en cette rentrée deux nouveaux et jeunes chefs d’orchestre, Clémence Le Gac et Victor Josse. La première partie de la saison a été orientée sur un programme tournant autour de la mort et la résurrection. Un changement de chef dans un orchestre représente toujours un grand changement, c’est une nouvelle personnalité qui se présente avec un bagage et une approche du travail différente. Nous avons souhaité illustrer l’arrivée de nouveaux chefs avec un programme qui, à la fois, rend un hommage à notre ancien directeur artistique, et qui marque un nouveau départ pour l’ensemble, une renaissance. L’idée de Renouveau a toujours marqué les compositeurs, elle illustre la recherche permanente des artistes à se réinventer, à pousser leur art au-delà des frontières et des codes. En montant ce programme nous souhaitons ouvrir l’orchestre à un large répertoire avec des pièces “classique”, de la musique de film et également une pièce d’esthétique “contemporaine”, répertoire souvent évité par les orchestres amateurs. 

  • WILLIAMS – A New Beginning (musique du film Minority Report)
  • PIAZZOLLA – Suite Del Angel (La mort de l’ange, La résurrection de l’ange)
  • TAKEMITSU – Death and Resurrection
  • BERLIOZ – Les Nuits d’été (Villanelle, La résurrection de la rose, L’île inconnue)
  • MAHLER – Symphonie n°2 “Résurrection” (1er mouvement)

La deuxième partie de la saison a été annulée pour cause de pandémie.

Saison 2018-2019

Ciné-concert

Le concert a été composé de deux parties : une première partie uniquement orchestrale avec Ma Mère L’Oye de Maurice Ravel et le 2nd mouvement de la 7ème symphonie de Chostakovitch, puis une deuxième partie où a été diffusée le moyen métrage La petite Marchande d’Allumettes, accompagné en direct par l’orchestre qui a interprété la bande originale composée pour l’occasion par Victor Josse.

Place aux compositrices

Il suffit de parcourir les programmations des différents ensembles de musique dite classique – orchestres, chœurs, musique de chambre… – pour observer une absence marquante : celle des compositrices. Elles ont pourtant fait partie intégrante de l’histoire de la musique, mais elles ont été quasi systématiquement oubliées. Lorsque l’on dit Schumann, c’est à Robert que l’on pense, rarement à Clara. Lorsque l’on dit Mendelssohn, c’est à Félix que l’on pense, rarement à Fanny. L’Orchestre Symphonique Universitaire de Rennes n’échappe malheureusement pas à ce constat : en 70 ans de concerts n’avaient été programmés que des hommes, à l’exception du concert de juin 2017 où, à l’initiative d’Yves Krier, deux mouvements d’une symphonie de Louise Farrenc ont été interprétés. Nous avons tenu à faire amende honorable et avons proposé des concerts intégralement consacrés aux compositrices : 

  • Concerto pour piano de Clara Schumann
  • Concertino pour flûte et orchestre de Cécile Chaminade
  • 5ème symphonie d’Emilie Mayer
  • Ouverture d’Elfrida Andrée